La nuit commencée, Grage revient au sein du quartier...

Le jeune au noir pelage, toujours dans son économie de mouvement et, dans sa méfiance sur les effets que pourraient provoquer les fumées sur sa personne, s'approche du fond. A chaque pas, le choix bascule sur le rideau soit de droite, soit de gauche.

Arrivé dans le fond, le massif désarmé se dit qu'avoir qu'une moitié de réponse n'est pas sufisant, et que le bon choix necessité la consultation des deux genres. Et un éclaireur dragon doit surprendre. Sans oublier que, selon les dire de la vieille mashra à l'entrée, les anciens sont tout au bout de la pièce.

Aussi, une fois arrivé au terme de sa destination, le rideau du fond, qui fait face au sauveur, est tiré pour être ouvert. L'invité méfiant se fait observateur, et prompt à la réaction.

Au moment suivant où Grage tire le rideau du fond, un silence pesant se fait. Plus aucune voix de Shaloar ne murmure. L'homme-lion noir peut alors contempler sur sa gauche trois vieux Mashra assis autour d'un narguilé, sur sa droite cinq vieilles Mashrani assises autour d'un autre narguilé. Tous et toutes sont vêtus d'étoffes fines et luxueuses, tenant en main un tube servant à fumer. Chacun et chacune cessent leurs gestes pour observer fixement le nouveau venu.

Le massif Léodra entend un rideau se tirer de chaque côté dans son dos, tant côté masculin que féminin.

Le rideau ouvert, le regard sérieux du Léodra se porte d'abord sur les femelles, puis sur les mâles.

Pas le temps d'entrer dans la pièce ou de saluer que des bruits se font entendre dans le dos du guerrier. Conservant une position prompt à la réaction, et toujours dans sa méfiante économie de mouvement, la tête du massif curieux pivote pour voi de quoi il s'agit.

Grage peut alors constater qu'un imposant Mashra entre deux âges se tient debout dans l'ouverture de son compartiment, deux autres Mashras aussi âgés restant accroupis sur ses côtés guettent également. La même scène est découverte côté Mashranis : une femelle est debout, encadrée par deux autres accroupies.

L'ensemble de ces hommes et femmes-panthères affichent des visages soupçonneux. Leurs muscles corporels indiquent le qui-vive malgré les vêtements coûteux que chacun et chacune porte.

Pour l'instant, ces six personnes restent immobiles et silencieuses.

Le shaloar en armure se laisse le temps d'évaluer ses potentiels adversaires. Le sérieux du regard se transforme en une noble et digne expression et, après un salut de la tête respectueux envers les vigiles, l'ex lieutenant se détend, ouvrant ses mains et les conservant bien visible.

D'ailleurs, le jeune Léodra pivote pour refaire face aux anciens et va se joindre les mains dans le dos, façon militaire au repos, pour que les vigiles puissent les voir.

La posture digne, regardant les fumeurs et fumeuses de chicha à tour de rôle, un grondement sourd fini par sortir de la gorge du jeunot :

" Veuillez recevoir les salutations du sauveur de la cité.  A moins que vous ne préfériez, le ré-prou-vé. "

Un fin psychologue peut ressentir que le sauveur témoigne, pour l'instant, plus de respect envers les gardes qu'envers les anciens, même si tout est fait pour ne pas le montrer.

L'homme lion, qui n'a pas encore franchi la ligne du rideau, observe les comportements des anciens et anciennes.

Seule l'immobilité des différents Mashras et Mashranis présents répond au digne Léodra. Seuls des clignements naturels d'yeux répondent à Grage dans un premier temps.

Enfin, l'un des anciens Mashras prend la parole, d'une voix calme et posée :

"Tu es à la fois sauveur de la cité et réprouvé. Mais nous préférons te nommer par le nom que tu te donnes, Grage Niark."

Son regard continue de fixer le jeune homme-lion. Après une pause, il reprend :

"Si tu souhaites partager notre parole, avance et assied toi devant nous. Si tes préoccupations concernent les femelles, ta santé ou ta famille, avance et assied toi devant les anciennes. Et si tu n'es venu ni pour l'un ni pour l'autre, retourne d'où tu viens."

Le jeune debout est resté dignement dans l'attente des propos jusqu'à ce qu'ils soient entendus.

Curieux de découvrir ce que partager la parole peut signifier pour des mashra, le solitaire vient s'asseoir à face aux vieux mâles. Les gestes sont lents et mesurables.

Après quoi, le guerrier spirituel fait silence et observe, toujours dans cette vigilante méfiance liée aux fumées qu'il respire.

Une fois assis, Grage sent d'autant plus l'odeur âcre de tabac qui emplit la pièce et ses narines. Les trois vieux Mashras observent le jeune Léodra sans mot dire. Puis, le silence se prolongeant, ils recommencent chacun à fumer le narguilé, relevant la gueule pour souffler la fumée vers le haut.

Tournant le dos aux vieilles Mashranis, l'homme-lion sent leurs regards plantés sur lui. Les quelques bruits discrets indiquent qu'elles aussi ont repris l'aspiration de fumée.

Le shaloar observe les trois vieux mâles, sans mots dire. Ni le regard pesant des femelles, nile silence ne dérange l'invité.

Les plus anciens n'invitent pas à la parole, ce qui pousse à la réflexion. Partager la parole commence peut être par partager cette saloperie de fumée.

Si une branche du narguilé est disponible, le guerrier sans arme fait l'effort d'en attraper une trompe, et, par mimétisme, partage une petite aspiration de fumette. Toujours prudent et méfiant vis à vis de cette drogue, le Leodra reste à l'écoute et dans la maîtrise de ses réactions.

Quand Grage saisit une des branches disponibles parmi les trois inoccupées, nul ne réagit. Les Mashras continuent de fumer tranquillement, continuant de l'observer sans rien révéler.

Le jeune Léodra aspire donc...
Et il est aussitôt pris d'une quinte de toux et la gueule envahie d'un goût proprement dégueulasse !

Le jeune Leodra ne se contient pas. La trompe du narguilé est reposée, et c'est bien le seul mouvement qui possède de la retenue.

La quinte de toux elle, se fait façon grand et puissant ramonage pour éjecter ce gaz dégueulasse. Tandis qu'il ramone à grand flux, le jeune atttrape un linge dans son sac qui servira de poubelle à glaires, afin de témoigner un peu de respect pour ce lieu. Dès les premières quinte de toux, le guerrier spirituel active ses dons totémiques.

Activation Pouvoirs : Augmentation Perception + Volonté + Force + Rapidité + Adresse

La perception accrue est utilisée pour ressentir d'éventuels effets secondaires provoqués par des drogues. La force va être utilisé pour accentuer la puissance d'évacuation des glaires des poumons, mais pas plus fort qu'un Kentarrak enragé, ce qui devrait être suffisant pour dégager les bronches.

Une fois l'évacuation des glairs effectués, le jeune Léodra gronde avec conviction sans pour autant laisser paraître sa colère et son dégout avec l'aide de sa volonté surléodresque.

" Bon, j'l'ai fait vot' partage. Maintenant, Yarm'narsh est-il en vie et bien portant ? "

A la fin de son propos, l'homme lion se repositionne en tailleur pour retrouver l'économie de mouvement et la mesure de tout ses moyens, en observant ses interlocuteurs.


Si aucun effets suspects du à d'éventuelles drogues est ressentie, après le rejet des glaires, le guerrier spirituel met à terme à ses capacités spéciales sans en afficher le contre coup.

Un second Mashra âgé, celui à gauche - après que ce soit celui du centre qui ait initié le dialogue plus tôt -, après avoir interrogé les autres vieillards du regard, prend la parole :

"Rien ne vous y obligeait, Grage Niark.

Quant à Yarm'narsh, il se portait bien la dernière fois où nous l'avons vu. Pourquoi cette question ?"

Pendant ce temps, Grage reste à l'affût de ses réactions corporelles. L'augmentation de ses sens alors qu'il était encore sous l'effet de la toux augmente également ses pleurs. Il peut ressentir avec précision tout le désagrément que cause le tabac à un novice. Et comme il n'a aucun souvenir des effets d'une quelconque drogue, l'inquiétude du Léodra est conservée lorsqu'il parvient rapidement à reprendre son emprise sur lui-même.

Fin d'activation des pouvoirs totemiques

Le guerrier spritieul utilise ses derniers rales et quintes de toux pour masquer le contre coup lié à la coupure des pouvoirs totémiques.

" Pour une fois qu'on m'invite au partage.J'allais pas r'fuser. "

reprend le jeune assis en tailleur. Puis, en pointant le narguilé de l'index, les questions fusent.

" Y a d'la drogue dedans ? ou c'est juste du tabac ? "

Les réactions sont observées en même temps que les réponses sont attendues.

Modifié avec l'accord de la narration

Le jeune Léodra sent que l'activation de ses pouvoirs commencent à tirer sur sa résistance.

Grage subira un -1 de fatigue supplémentaire quand il stoppera ses pouvoirs totémiques.
Grage subit une pénalité de -1 de fatigue.

Le troisième Mashra intervient alors, après quelques instants d'observation de son interlocuteur, également partagés par ses pairs :

"Vous n'avez pas répondu à notre question, Grage Niark."

" Toi non plus."

Répond le Shaloar, sans hésitation, toujours dans sa méfiante économie de mouvement et vigilance quand à sa personne.

" Pour Yarm'narsh, son employeur, un sorcier, m'a dit l'avoir congédié. Y a..."

Le jeune compte à nouveau sur ses doigts avec une réflexion à voix haute

" le repas... Le patriarche... La mèche... Cinq jours" annonce fièrement en montrant sa main ouverte le Shaloar assis en tailleur.

" Cinq jours environ. Il s'est montré pédagogue, collaboratif malgré mes manières, donc il mérite plus que mon soutien.

Alors j'veux juste savoir si tout va bien pour lui."

A nouveau, les réactions sont observées.

Les trois vieux Mashras observent un temps le silence en faisant peser un lourd regard critique sur le jeune Léodra. Puis celui du centre reprend la parole d'une voix calme mais son expression reste dure :

"Yarm'narsh est venu nous rencontrer il y a deux jours."

Il marque une pause puis ajoute, sur un ton plus sec :

"Tu es reçu ici malgré ton rang négligeable, Grage Niark, mais cela ne te dispense pas de devoir faire preuve de la courtoisie qui nous est due."

Puis les trois anciens fixent l'homme-lion noir avec une mine critique, mais gardent le silence.

Grage subira maintenant un -2 supplémentaire à la fin de son activation.

La tête est baissée pour regarder les jambes, la main droite vient gratter le menton pour attester d'une réflexion pensive. Dans cette posture et toujours une économie de mouvement, le casque et les gants sont retirés avant de redresser le buste plus dignement.

Cependant, malgré cet effort de présentation pour afficher son respect, l'homme lion gronde son inquiétude

" Suis-je en train de respirer de la drogue ? Si oui, quelles en sont les effets ?"

Les réactions des anciens sont observées.

Suite à cela, les trois anciens affichent tour à tour un mince sourire, presque simultanément. Leur sourire ne dure pas. Le vieux Mashra de gauche répond d'une voix tranquille :

"Le tabac est une drogue douce. C'est la seule que nous nous permettrons d'user ici. Elle permet de libérer l'esprit de notre triste sort et le guide ainsi vers sa plénitude."

L'invité commence à se détendre en se disant que, si des vieux Mashra et les gardes présents peuvent respirer ce tabac sans plus d'effet qu'une détente, c'est qu'il n'y a pas grand chose à craindre de cette fumée si ce n'est cette indésirable fumet.

Après un roulement de sa puissante musculature situé aux épaules et à la nuque, le jeune Léodra reprend plus posément, avec plus de maturité, sans perdre de son digne aplomb :

" Si les affaires de la cité vous interesse, j'ai des sujets à aborder.

Auparavant, anciens du clan Masrha, je tiens à vous remercier pour cet accueil auquel je ne m'attendais pas. Je profite de cette aubaine que le destin m'accorde pour solliciter vos points de vue à ces maigres interrogations.

Vous avez dit préférer m'appeler par le nom que je me donne. Cela sous entend-il que je porte un autre nom pour vous, anciens ?

Dans ce cas, pourquoi cette volonté mashra n'est-elle pas partagée par la gente Mashrani. Car sauf erreur de ma part, à mon entrée dans cette pièce, j'ai été appelé réprouvé par votre hotesse dont l'apparence souligne la sagesse de l'age.

D'ailleurs, pouvez-vous éclairer la jeunesse de mon esprit en me précisant le sens que vous portez à ce terme ?. "

Le sauveur observe les réactions tout autant qu'il s'apprète à entendre les réponse. Et même si elles ne sont pas dans le champ de vision, les réactions des vieilles mashrani seront entendues.

Les trois Mashras opinent lentement du chef lors des remerciements du jeune Léodra. Lorsque l'homme-lion noir a terminé de parler, les trois anciens restent tout d'abord silencieux. Puis c'est le vieux Mashra de gauche qui reprend la parole :

"Nous ne vous avons pas affublé d'un autre nom, Grage Niark. Mais le nom que vous vous donnez ne sonne pas tel un véritable nom Léodra. Aussi nous doutons, peut-être à tort, qu'il s'agit du nom que vous avez reçu suite à votre naissance. Dans tous les cas, quelle qu'en soit la raison, ce qui vous pousse à utiliser ce nom vous appartient.

Ensuite, notre hôtesse n'est pas une ancienne et elle peut manquer de l'usage du respect en évaluant par trop rapidement certaines situations. Réprouvé est le terme qui désigne votre statut attribué suite à votre naissance, et plus précisément par la couleur de votre poil.

Hélas, les Léodras mâles sont fort rares de nos jours. Et bon nombre de Shaloars n'ont pas reçu l'enseignement suffisant pour savoir replacer un Léodra de passage à son niveau réel dans l'antique hiérarchie.

Mais d'ailleurs, connaitriez-vous votre position dans cette hiérarchie, Grage Niark ?"

Les sourcils, comme la bouche du jeune auditeur forme un trait bien droit. Dignement attentif, les mains viennent se placer sur les genoux pour adopter une posture bien droite, digne et imposante par sa masse. Cette posture vient appuyer le sérieux et l'aplomb du grondement qui vient en réponse après quelques secondes de réflexion.

" A age égal, je suis le plus méritant !
J'ai survécu à l'abandon !
Au présent, je suis dans le mépris de mes pairs par l'ignorance de ce que l'on nomme Tradition ! "

Après l'annonce de ce qui semble indiscutable, le ton se fait plus décontracté, tout comme l'attitude, tout en restant posé et respectueux.

" S'il m'était donné de pouvoir bénir ma mère, je le ferais. Donner naissance à un réprouvé par les siens est un acte de bravoure, de courage, et d'amour. Nul autre qu'un noiraud ne peut prétendre à une telle bénédiction maternelle.

Mon nom est et restera Grage Niark jusqu'à ce que je retrouve ma digne génétrice. J'appliquerais le rituel de la gifle à mon père si malheur est arrivé à ma mère par sa faute.

Quand à replacer un Léodra à son niveau réel dans l'antique hiérarchie serait sottise à mes yeux. Pourquoi reconstruire un modèle imparfait qui nous a mené au cataclysme ?!

Je reste cependant ouvert et vivement interessé par ce qui était avant. Vous me voyez donc curieux de connaitre ma position, ma fonction, mon rôle. "

Les trois Mashras fixent le jeune Léodra sans manifester d'émotions. A nouveau, ils laissent le silence s'installer quelques instants. Puis l'ancien de gauche reprend la parole :

"En quoi êtes-vous le plus méritant ? Auriez-vous d'autres pareils dans vos connaissances auxquels vous comparez ?
Et pour quelle raison avez-vous choisi le mépris de vos pairs au sein de votre ignorance ?"

Après une écoute attentive, un sourire carnassierement amusé se dessine pendant un instant de réflexion. Ensuite, la posture bien droite, digne et imposante par sa masse est prise de nouveau, toujours dans le but d'appuyer la prise de parole qui va suivre. Le ton est tout aussi assuré qu'il est respectueux

" Pourquoi retirez-vous des éléments de contexte dans votre retour ? Serait-ce pour tenter d'induire le doute dans mes assertions ? Sauf erreur de ma part, j'ai précisé à age égal et, toujours sauf erreur de ma part, je vous ai dit en quoi je m'estime plus méritant.

Si je connais mes pairs ? Vous voulez parler de Charr'Crâgg, seigneur de la Citadelle de l’Épine ? De Varâm'Nrresh, seigneur de la Citadelle du Bec ? Uniquement les seigneurs des terres connues ? ... Je ne pourrais répondre à votre question tant que vous n'aurez pas nommé les seigneurs auxquels vous faites référence.

Par contre, et pour lever le doute, je me dois de vous citer un exemple de mépris auquel je suis confronté régulièrement par mes pairs. Vous m'avez demandé d'afficher le respect qui vous est du, car ce du est inducatable; et je me suis excécuté avec mes modestes connaissances.

Si je fais état du contenu de votre retour, ommissions et imprécisions ne sont la que pour me pousser à la faute. Quand à l'expression de mes curiosités, j'ai bien compris que je pourrais me torcher avec le mépris de vos silences.."

L'homme lion au noir pelage prend une profonde inspiration avant de poursuivre avant de se détendre et de reprendre plus posément.

" Je suis venu à vous par esprit de curiosité. Vous avez accepté ma présence et m'avez proposé de partager votre parole. Je vous en suis reconnaissant. Cependant, je crois deviner que ce partage de paroles doit avoir des règles que je ne connais pas.Aussi, et afin que mon respect envers vos personnes soit indiscutable, pourriez-vous me les énumérer ? "

L'homme lion se fait observateur des réactions.

Comme précédemment, seul le silence commence par répondre aux questions de Grage. Puis quelques instants plus tard, l'ancien de gauche reprend la parole :

"Nous constatons votre maigre connaissance de nos usages dans ces dernières paroles, Grage Niark. Aussi je vais tenter de vous les éclaircir par le biais de mes mots.

La règle principale est celle de la courtoisie. Et vous n'y dérogez pas, soyez en honoré. Aucun autre devoir de comportement ne vous est demandé, car vous n'êtes pas un enfant du Clan Mashra.

Vos paroles à l'instant indiquent que vous suspectez de la malversation ou de la rouerie dans mes propos. Soyez assuré qu'il n'en est rien.

Mes premières questions visaient à savoir justement à qui vous vous compariez. Daignerez-vous y répondre ?
Nous ne faisions pour notre part aucune présomption. Et de même pour ma dernière question, souhaiterez-vous également nous apporter éclaircissement ?"

Les yeux du jeune Léodra se plissent pendant la seconde prise de parole. Facile de deviner que la cuirsioté est piquée au vif. Preuve en est de la question qui suit sans attendre :

" Et quels sont les devoirs de comportement des enfants du clan Mashra ? "

L'intérêt pour cette question est poignant.